21 mai 2008
Tireless birds.
J’ai tout inhumé, tout. Le goût suave de tes lèvres, l’exhalaison de ton cou dénudé. J’ai tout enterré, tout. La foule de cadavres hurlante, assiégeant nos corps inertes, la douleur qui nous accable. Les oiseaux qui vacillent à la demande du vent, leurs...